La dé-mondialisation chère au Ché de Saône-et-Loire, le protectionnisme et la préférence nationale du F.Haine, en passant par la moralisation du capitalisme de Naposarkoléon, les ayatollahs de la taxation des transactions financières et les gourous de la décroissance : c'est du vent !
Ces théories politiques, ces souhaits démagogiques et/ou électoralistes, sous couvert de réguler le système financier ou de combattre la CRISE, reposent néanmoins sur des notions issues du capitalisme et ne sont là que pour nous faire gober l'idée que les hommes politiques ont capacité à avoir une incidence sur l'ordre mondial du capitalisme (sans le dénoncer): c'est du vent !
Ce système fonctionne et n'avance qu'à grands coups de CRISE et cela depuis toujours ; souvenez-vous de votre enfance et dites-moi si la CRISE n'était déjà pas dans le vocabulaire préféré de nos politiciens et des médias ; dès que les gens manifestent et revendiquent un mieux être, la CRISE est le couperet facile pour saboter tout élan de liberté. Au nom de la CRISE, on paupérise les populations pour permettre au système capitaliste de s'épanouir. Encore aujourd'hui, des experts en tout genre, des politiciens de tout bord annoncent, avec le plus grand sérieux, que le but du libéralisme et du capitalisme est de croitre indéfiniment(et donc sans restrictions) pour pouvoir offrir au plus grand nombre les richesses tant convoitées ; la réussite des uns fera le bonheur de tous : c'est du vent !
Vous comprendrez bien, que les marathoniens électoralistes, ceux qui ont le verbe haut , ceux qui ont réponse à tout, ceux qui veulent le pouvoir, n'ont aucune raison de changer quoi que ce soit puisqu'ils ne remettent pas en cause ce qui fonde la détresse du plus grand nombre ; la population a l'imprudence de faire confiance à l'État, avocat véreux du système capitalisme !
La solidarité est la seule alternative ; il faut raser un système qui ne fonctionne pas et ne pas tenter de le rénover...ce n'est pas du vent...
